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Showing papers in "Annales de parasitologie humaine et comparée in 1971"


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TL;DR: Chez ces especes, l’evolution cephalique marquee principalement par une migration laterale des papilles et une dilatation generale du masque facial, s’accompagne chez le mâle de the differenciation des pieces genitales et d’une augmentation du nombre de mamelons cuticulaires ventraux.
Abstract: Les especes du genre Syphacia sont reparties en dix groupes selon les affinites morphologiques de leurs structures cephaliques. Deux nouvelles especes sont decrites :–S. adami n. sp. est parasite d’un Sciuridae africain, Funisciurus pyrrhopus .–S. mesocriceti n. sp. est recolte chez un Cricetidae, Mesocricetus auratus .–S. baylisi Maplestone et Badhuri, 1942, devient synonyme de S. muris (Yamaguti, 1935).Les trois premiers groupes reunissent des Syphacia de Sciuridae .Chez ces especes, l’evolution cephalique marquee principalement par une migration laterale des papilles et une dilatation generale du masque facial, s’accompagne chez le mâle de la differenciation des pieces genitales et d’une augmentation du nombre de mamelons cuticulaires ventraux.Les sept autres rassemblent des Syphacia de Rongeurs Cricetidae, Gerbillidae, Muridae et Microtidae . Chez ces Oxyures il n’existe plus d’evolution parallele des caracteres, mais des speciations, consecutives de leur large dispersion geographique.

35 citations


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TL;DR: In this article, the authors show that the proportion of microfilaires passees dans l’hemocele is proportionnel to the number of femelles ingerees.
Abstract: Seule une fraction des microfilaires ingerees par le vecteur passe dans l’hemocele et peut se developper en stades infestants. Il existe deux types de relations numeriques entre microfilaires ingerees et microfilaires passees dans l’hemocele :1)la proportion des microfilaires passees dans l’hemocele augmente en fonction du nombre des microfilaires ingerees : c’est la facilitation, observee chez le couple Wuchereria bancrofti - Anopheles gambiae A (457 ♀ dissequees) et etudiee dans un article precedent.2)le nombre des microfilaires passees dans l’hemocele est proportionnel au nombre des microfilaires ingerees pour les faibles prises de microfilaires ; puis, quand le repas est plus riche en microfilaires, il atteint un chiffre limite : c’est la limitation, mise en evidence chez 3 couples : Wuchereria bancrofti - Aedes aegypti (100 ♀ dissequees), Setaria labiatopapillosa - A. aegypti (357 ♀ dissequees), Onchocerca volvulus - Simulium damnosum (550 ♀ dissequees).1) Interpretation du phenomene de limitation. Aucune image histologique ne permet de l’expliquer. Par contre, un ensemble de faits, issus d’analyses des resultats numeriques, conduit a une hypothese qui fait intervenir a la fois l’etat physiologique et le mode de dispersion des microfilaires chez l’hote vertebre.a)Chez les 3 couples Filaire-vecteur, presentant le phenomene de limitation, on constate que le nombre des microfilaires passees dans l’hemocele est proportionnel au nombre des microfilaires ingerees jusqu’a un nombre critique de microfilaires ingerees, que nous appelons le seuil de limitation (il est de 25 microfilaires chez Wuchereria - Aedes , 6-9 microfilaires chez Setaria - Aedes et 3 microfilaires chez Onchocerca - Simulium ) ; au-dessus de ce seuil, la proportion decroit. Tout se passe donc comme si le vecteur qui fait de petits repas de microfilaires prelevait des microfilaires physiologiquement aptes a traverser la paroi stomacale (microfilaires +) et que le vecteur qui fait des repas riches en microfilaires prelevait des microfilaires inaptes a traverser la paroi stomacale (microfilaires-).b)L’analyse de la distribution des vecteurs en fonction du nombre de microfilaires ingerees montre qu’une partie des femelles semble prelever ses repas dans un milieu ou les microfilaires ont une dispersion homogene (distribution des femelles selon une courbe de Poisson) et qu’une autre partie des femelles semble prelever des microfilaires dans un autre milieu, ou elles sont dispersees de facon anarchique et en densites plus fortes (distribution des femelles « non poissonienne »). Les deux ensembles de distributions se recouvrent legerement, a leur contact.c)Si l’on marque en abcisses sur les histogrammes de distribution des femelles le seuil de limitation, on constate qu’il correspond a la separation entre la population des femelles a distribution essentiellement poissonienne et le reste de la population, comprenant l’aire de recouvrement plus la distribution residuelle. Cette correlation (retrouvee trois fois) signifie pour nous que la population des femelles chez laquelle le pourcentage de reussite des microfilaires est eleve correspond a la population des femelles qui a une distribution poissonienne. Ainsi, les microfilaires dispersees de facon homogene semblent correspondre aux microfilaires aptes a traverser la paroi stomacale (microfilaires +).d)La possibilite, pour un meme vecteur, d’ingerer des « microfilaires + » ou des « microfilaires » semble etre etayee par la mise en evidence chez A. aegypti de deux mecanismes de piqure (Gordon et Lumsden, 1939).2) Consequences. L’etude de la distribution des vecteurs en fonction du nombre des microfilaires ingerees apparait comme un moyen de mesurer le degre de coaptation du couple Filaire-vecteur. Dans le cas d’une parfaite adaptation, seules les « microfilaires + » doivent etre ingerees, ce qui se traduira par une distribution poissonienne du vecteur. Le couple Dipetalonema perstans - Culicoides austeni semble realiser cet equilibre (chiffres publies par Nicholas et Kershaw, 1954).Au contraire, chez Onchocerca - Simulium (souche voltaique), la plupart des Simulies ingerent des microfilaires inaptes a traverser la paroi stomacale. Mais ce meme couple, en region forestiere du Cameroun ne parait pas presenter un tel degre d’inadaptation (chiffres de Duke et Lewis, 1964). L’adaptation Filaire-vecteur, qui est le resultat d’une longue suite de selections, varie d’une region geographique a l’autre.

25 citations


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TL;DR: In this article, the methode utilisee a ete celle des papiers adhesifs, places dans des anfractuosites, a distance des habitations humaines, and laisses plusieurs jours.
Abstract: Douze stations, dans le sud de la Turquie, ont fait l’objet d’un sondage. La methode utilisee a ete celle des papiers adhesifs, places dans des anfractuosites, a distance des habitations humaines, et laisses plusieurs jours. Onze especes de Phlebotomes ont ete capturees, parmi lesquelles quatre n’avaient jamais ete signalees en Turquie. En outre, un Phlebotome appartenant probablement a une espece nouvelle est decrit.

19 citations


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TL;DR: Les espèces Brachylaemus oesophagei Schaldybin, 1953 et Soricitrema baeri Bychovskaya-Pavlovskaya et al., 1970 sont mises en synonymie respectivement avec BrachylAemus fulvus Dujardin, 1843 et Nephrotrema truncatum (Leuckart, 1842).
Abstract: L’auteur donne l’inventaire des Plathelminthes rencontres chez les Soricinae (Neomys fodiens, Sorex araneus, Sorex minutus) dans l’Est des Pyrenees. Plusieurs especes sont nouvelles pour la faune francaise. Ce sont : Hymenolepis diaphana Cholodkowsky, 1906 ; Hymenolepis globosoides (Soltys, 1954) ; Hymenolepis jacutensis (Spassky et Morosov, 1959) ; Hymenolepis stefanskii Zar- nowsky, 1954 et Nephrotrema truncatum (Leuckart, 1842). Les Cyclophyllides Hymenolepis alpestris Baer, 1931 et Hymenolepis jacutensis sont redecrits. Les especes Brachylaemus oesophagei Schaldybin, 1953 et Soricitrema baeri Bychovskaya-Pavlovskaya et al., 1970 sont mises en synonymie respectivement avec Brachylaemus fulvus Dujardin, 1843 et Nephrotrema truncatum (Leuckart, 1842). Le Digene Pseudoleucochloridium soricis (Soltys, 1952) est considere par l’auteur comme un parasite d’Oiseau.

12 citations


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TL;DR: Une application pratique de the methode de lutte par lâchers de mâles steriles sera realisee, au debut de 1970, en Republique Centrafricaine.
Abstract: I. – Les elevages de Glossines a Maisons-Alfort. Des elevages de quatre especes de Glossines sont entrepris depuis quelques annees a Maisons-Alfort, et comprennent : une souche de G. morsitans morsitans , une souche de G. tachinoides , une souche de G. austeni et une souche de G. fuscipes fuscipes. Les adultes sont maintenus dans une piece a une temperature de 25° C et une humidite relative de 70 a 75 p. 100. Les pupes et les mouches de moins de 10 jours sont stockees dans une deuxieme piece, a 25° C et entre 75 et 80 p. 100 d’H.R.Les mouches sont nourries chaque jour, sauf le dimanche, sur les oreilles du lapin.Les effectifs des femelles ont depasse une moyenne de 2.000 femelles par jour et par espece, a la fin de l’annee 1967 pour G. tachinoides et G. morsitans et a la fin de l’annee 1968 pour G. austeni . Chez G. fuscipes fuscipes , les effectifs atteignent actuellement 800 femelles/jour et sont en progression constante.II. – Cytogenetique et spermatogenese des Glossines. Des recherches sur les chromosomes des Glossines ont permis de definir le caryotype des especes suivantes :G. tachinoides , qui possede 6 chromosomes.G. fuscipes fuscipes , ayant egalement 6 chromosomes.G. morsitans morsitans , qui possede 10 chromosomes, dont 2 paires de grands chromosomes, 1 paire de moyens et 2 paires de petits chromosomes.G. austeni , avec 14 chromosomes, dont 2 paires de grands, 1 paire de moyens et 4 paires de petits chromosomes.III. – Sterilisation des mâles de Glossines par irradiation aux rayons gamma. L’irradiation gamma de mâles adultes de Glossines provoque, dans les conditions du laboratoire, la sterilite totale a des doses comprises entre 19.000 et 20.000 rads chez G. morsitans et entre 15.500 et 17.000 rads chez G. tachinoides . A ces doses, la fertilite des mâles irradies est nulle mais leur competitivite et leur pouvoir inseminant sont conserves et leur longevite reste suffisante.Une application pratique de la methode de lutte par lâchers de mâles steriles sera realisee, au debut de 1970, en Republique Centrafricaine.

11 citations


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TL;DR: Le cysticercoide d'Hymenolepis brusatae Vaucher, 1971, Hymenolepididae, parasite a l’etat adulte de Musaraignes du genre Crocidura, est mis en evidence chez deux Phlebotomes dans les terriers des Micromammiferes.
Abstract: Le cysticercoide d'Hymenolepis brusatae Vaucher, 1971, Hymenolepididae , parasite a l’etat adulte de Musaraignes du genre Crocidura , est mis en evidence chez deux Phlebotomes ♀, Phlebotomus perniciosus Newstead, 1911, et Phlebotomus mascittii Grassi, 1908, provenant d’un lot de 15.436 exemplaires captures en Corse en 1969 et 1970.Cette observation permet d’elucider un des aspects du cycle evolutif d’Hymenolepis brusatae dont les adultes sont parasites en Corse de Crocidura russula cyrnensis (Miller, 1907). Elle apporte, par ailleurs, un argument supplementaire a l’hypothese anterieurement emise, de la presence habituelle de larves de Phlebotomes dans les terriers des Micromammiferes.

11 citations


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TL;DR: Il a ete constate that les larves d'Hexametra quadricornis, d'Ophidascaris sprenti and de Polydelphis quadrangularis subissent la premiere and the seconde mues lorsqu’elles sont encore localisees a l’interieur de the coque des œufs, et non seulement la premiere mue, comme il etait adm
Abstract: Il a ete constate que les larves d'Hexametra quadricornis, d'Ophidascaris sprenti et de Polydelphis quadrangularis (parasites de serpents) subissent la premiere et la seconde mues lorsqu’elles sont encore localisees a l’interieur de la coque des œufs, et non seulement la premiere mue, comme il etait admis jusqu’a present. Ainsi, elles sont deja au troisieme stade du developpement et non au second quand elles atteignent l’hote intermediaire.Ces observations permettent d’expliquer pourquoi la seconde mue etait caracterisee principalement par des modifications morphologiques au niveau de la queue des larves localisees dans l’hote intermediaire, sans que le decollement de la cuticule ait ete constate de facon precise.

10 citations


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TL;DR: L’espece Megalobatrachonema campanae Chabaud et Golvan 1957, parasite de Tritons, est mise en synonymie avec M. terdentatum (Linstow, 1-890).
Abstract: L’espece Megalobatrachonema campanae Chabaud et Golvan 1957, parasite de Tritons, est mise en synonymie avec M. terdentatum (Linstow, 1-890).Le cycle evolutif de l’espece est etudie en France : il comprend une phase libre jusqu’au troisieme stade larvaire. L’heteroxenie est obligatoire ; l’infestation par les larves du troisieme stade est possible chez les Mollusques (Planorbes), les Oligochetes et les tetards de Tritons ; les larves grandissent tres peu chez les Invertebres. Les Tritons adultes s’infestent en ingerant les Oligochetes infestes ; dans les regions etudiees, le cycle est saisonnier et en rapport avec la biologie de l’hote : les Tritons s’infestent au printemps au moment ou ils menent une vie aquatique, les larves passent dans la cavite generale ou elles grandissent lentement pendant l’hiver et la maturite sexuelle est atteinte au printemps suivant.

9 citations


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H. Laven1
TL;DR: D’aout a octobre 1966, on testa l’incompatibilite des mâles avec des femelles provenant de vingt-cinq populations naturelles de Rangoon et de ses environs.
Abstract: Le croisement entre les membres de populations allopatriques du complexe de Culex pipiens peut donner lieu a quatre resultats differents. La majorite des populations produit une descendance normale dans les croisements reciproques alors que certains autres donnent des descendants dans une direction et que les embryons n’eclosent pas dans la direction opposee. D’autres croisements sont infeconds dans les deux directions. Cette absence de descendance est due a une incompatibilite cytoplasmique qui est cytoplasmique- ment hereditaire. Elle demeure constante dans la lignee femelle pendant un nombre indefini de generations. Le spermatozoide est bloque dans un croisement incompatible avant qu’il ne fusionne avec le noyau ovulaire haploide et, si des embryons se developpent, ils le font a partir d’un ovule haploide et meurent avant l’eclosion.On connait vingt types differents de croisement dans le complexe de Culex pipiens et il est possible de preciser quelle est la souche du complexe, ou parfois les souches, qui sont incompatibles avec une certaine population de Culex pipiens d’un point donne du globe. Il est possible d’introduire des caracteres geniques desirables dans une souche incompatible sans changer l’incompatibilite cytoplasmique et l’on peut adapter ainsi des souches de regions temperees a des environnements tropicaux.Il serait souhaitable d’effectuer des lâchers de mâles incompatibles dans une population naturelle dans le cadre de la lutte contre Culex pipiens . Des experiences effectuees dans des cages montrent que les femelles sont incapables de faire la discrimination entre les mâles normaux et les mâles incompatibles ; la competitivite des mâles depend en grande partie des conditions de l’alimentation au cours du developpement larvaire. Des populations d’elevage, presentant un taux initial d’un mâle incompatible pour un mâle normal, ont ete eradiquees en trois ou quatre generations.L’Organisation Mondiale de la Sante a cautionne une experience pilote effectuee avec la collaboration de l’Unite de Recherches sur les Filarioses a Rangoon. On utilisa une souche de Culex pipiens fatigans ayant le cytoplasme d’une souche de Paris et le genome d’une souche de Fresno (Californie) consideree comme etant mieux adaptee aux conditions ecologiques de la Birmanie que la souche pure de Paris. D’aout a octobre 1966, on testa l’incompatibilite des mâles avec des femelles provenant de vingt-cinq populations naturelles de Rangoon et de ses environs. Ces femelles deposerent au total 1.472 pontes ou l’on decomptait 130.455 œufs. 180 larves seulement arriverent a l’eclosion (0,14 %).Le travail sur le terrain fut effectue a Okpo, village situe a 25 km environ au nord de Rangoon, entoure de rizieres seches pendant l’hiver. On estima que la densite de la population de moustiques variait d’un minimum de 2.000 mâles et 2.000 femelles jusqu’a 10.000 mâles et 10.000 femelles suivant les jours, cette variation dependant surtout des fluctuations du nombre et de l’etendue des gites larvaires.Des mâles incompatibles furent lâches entre fevrier et mai 1967. On lâcha tous les jours 5.000 mâles incompatibles du 16 mars au 6 mai. En raison du nombre initial bas de lâchers, le pourcentage de pontes non ecloses provenant de croisements incompatibles demeurait bas (semaines 1-4 ; 4,4-11,6 %). Peu apres le lâcher d’un nombre optimal de 5.000 mâles incompatibles par jour (fleche dans la fig. 1), le pourcentage de pontes inviables augmenta jusqu’a une moyenne de 19,4 % (cinquieme semaine, 21 au 27 mars) en depit d’un accroissement presque decuple de la taille de la population au cours des quatre premieres semaines (70 pontes par jour pendant la premiere semaine, 625 pontes par jour durant ta quatrieme semaine). On constata au cours des sept jours suivants (28 mars au 3 avril) un leger accroissement jusqu’a 24,8 % ; durant la semaine suivante (4 au 10 avril), on atteignait 30,7 %. Le pourcentage des pontes inviables s’accrut alors plus rapidement. Il atteignait 39,0 % du 11 au 17 avril (huitieme semaine) et 70,4 % du 25 avril au ler mai (dixieme semaine). Une nouvelle poussee de production elevee dans les gites larvaires, debutant a la dixieme semaine, fut de toute evidence rendue inefficace par le haut pourcentage de pontes sans eclosion. Du 2 a.u 8 mai (onzieme semaine), le pourcentage atteignit 85,5 % et l’on obtenait enfin 100 % de pontes inviables les 9 et 10 mai. La production de nouvelles larves etait donc arretee et aucun adulte ne devait eclore apres dix jours environ. La mousson debuta malheureusement le 11 mai et l’experience dut etre interrompue.Les resultats de cette experience montrent que le facteur d’incompatibilite est capable d’agir dans la nature et qu’apres le lâcher d’un nombre adequat de mâles incompatibles, on peut eradiquer une papulation de C. fatigans en trois mois environ ou en cinq ou six generations.

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TL;DR: Five new species of cyclophyllidean Cestodes are described from small mammals and an amphibian, collected on the Horton Plains and in Peradeniya, in Ceylon.
Abstract: Five new species of cyclophyllidean Cestodes are described from small mammals and an amphibian, collected on the Horton Plains (7,200 ft) and in Peradeniya (1,600 ft), in CeylonFour of the new species are hymenolepids, namely : Vampirolepis solisoricis from the small intestine of the Ceylon Large Shrew, Solisorex pearsoni , an endemic genus and species confined to the hills ; Vampirolepis montana and Hymenolepis sunci , from the small intestine of the Ceylon Highland Shrew, Suncus murinus montanus , an endemic subspecies of the hill country ; and Pseudhy-menolepis eisenbergi from the stomach of the same host An unidentifiable Hymenoiepis sp was also recovered from the small intestine of the Highland Spiny Rat, Mus (Coelomys) mayori (subgenus and species peculiar to Ceylon), from the Horton PlainsA new nematotaeniid species, Cylindrotaenia philauti , is described from the small intestine of the rhacophorid frog, Philautus variabilis , collected on the Horton Plains

9 citations


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TL;DR: The hypothesis is launched that multiplication of propagative viruses in their vector is a prerequisite for their transmission whereas a possible multiplication of circulative viruses vectors is not or only of minor importance for their Transmission.
Abstract: The behaviour of viruses in aphids and leafhoppers will be discussed. Usually three types of virus transmission are distinguished. They are : stylet-borne, circulative and propagative.The first group is only transmitted by aphids. These viruses are acquired and transmitted within a period of seconds or minutes. The essence of this type of transmission seems to be an adherence of the virus to the surface of the stylets and its elution in the subsequent feeding probe.Other plant viruses are acquired by aphids and leafhop- pers through their mouthparts, accumulate internally, then pass through the insect tissues, whereafter they are introduced into plants again via the mouthparts of the vector. This process requires a period of about a day for circulative and a week or more for propagative viruses.Multiplication of certain viruses, e. g. wound tumor virus, rice dwarf virus, potato yellow dwarf, in their leafhoppers has been known for several years. Unequivocal evidence for the multiplication of sowthistle yellow vein virus, an aphid borne virus, has been given recently.Association of rice dwarf virus and wound tumor virus with tissues of their vectors has been demonstrated by electron microscopy.This could also be demonstrated with immunofluorescence techniques for wound tumor virus.The initial site of multiplication of wound tumor virus seems to be the intestinal tract. Infection of the intestine took place 4 days after acquisition, whereas other tissues showed positive reactions 11 days after acquisition.Wound tumor virus and potato yellow dwarf are successfully inoculated to cell cultures of the leafhopper Agallia constricta . Primary cultures of the aphid Hyperomyzus lactucae were successful inoculated with sowthistle yellow vein virus.The characteristics of transmission of propagative viruses are :1)a long incubation period (1-2 weeks),2)an increase of the virus content during the incubation period,3)the frequence of transmission is independert on or not proportional to the length of the acquisition period.The characteristics of transmission of circulative viruses are :1)an incubation period of about a day,2)a decrease of the virus content after acquisition of the virus,3)the maximum inoculation efficiency will be reached shortly after acquisition,4)repeated acquisition feeding affect the transmission positively.There is strong evidence for one of the viruses (potato leafroll virus), which has a transmission characteristic of circulative viruses that it multiplies in its vector. Transmission experiments in which other circulative viruses were subjected to serial passage, were unsuccessfull. Therefore, its seems necessary that the multiplication of potato leafroll virus has to be confirmed by additional evidence.The hypothesis is launched that multiplication of propagative viruses in their vector is a prerequisite for their transmission whereas a possible multiplication of circulative viruses vectors is not or only of minor importance for their transmission.


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TL;DR: Les structures antigeniques hydrosolubles de cinq souches representatives de Trypanosoma brucei, T. rhodesiense et T. gambiense ont ete analysees en immuno-electrophorese et en double diffusion au moyen d'hyper-immunserums objectivant un minimum de vingt- c inq composants antigeniques.
Abstract: Les structures antigeniques hydrosolubles de cinq souches representatives de Trypanosoma brucei, T. rhodesiense et T. gambiense ont ete analysees en immuno-electrophorese et en double diffusion au moyen d'hyper-immunserums objectivant un minimum de vingt- cinq composants antigeniques.T. brucei et T. rhodesiense possedent la meme structure antigenique. Cette structure differe significativement de la structure de T. gambiense. Ces resultats suggerent l’existence de deux especes distinctes (T. brucei et T. gambiense ) au sein du complexe brucei .

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TL;DR: The genus Renicola Cohn, 1904, was based on Monostoma pingue and is cosmopolitan in distribution and species have been found in the kidneys of birds belonging to various families and the inclusion of such morphologically diverse types as the plagiorchid and rhodometopodous cercariae in a single genus controverts ideas of generic unity.
Abstract: The genus Renicola Cohn, 1904, was based on Monostoma pingue (Mehlis in Creplin, 1846) ; it is cosmopolitan in distribution and species have been found in the kidneys of birds belonging to various families. Cercaria rhodometopa , Perez, 1924, has a similar excretory system and the rhodometopous cercariae have been regarded as renicolid larvae, although attempts at experimental infections have so far proved futile. Cable (1963) reported that certain plagiorchid cercariae are larvae of renicolid species and postulated that species of Renicola may have two types of cercariae, either rhodometopous or plagiorchid larvae. Stunkard (1964) described plagiorchid cercariae from Thais lapiltus and their development in the renal tubules of gulls, Larus argentatus , to adults that were identified as a new species, Renicola thaidus . He noted that these cercariae are similar to others from Littorina spp., viz., Cercaria parvicaudata , Stunkard and Shaw, 1931, and Cercaria roscovita , Stunkard, 1932. Werding (1969) reported that metacercariae of C. roscovita developed in the kidneys of L. argentatus to adults identified as Renicola roscovita (Stunkard, 1932). He suggested the identity of C. roscovita and C. parvicaudata . Robson and Williams (1970) identified cercariae from Littorina littorea as Cercaria A ; the larvae agreed morphologically with C. roscovita , but attempts to infect juvenile L. argentatus , ducklings, chicks and various laboratory mammals failed. Repeated attempts by the writer to infect L. argentatus and other birds with metacercariae of C. parvicauda have given only negative results. The systematic position of the rhodometopodous cercariae is enigmatic, but the inclusion of such morphologically diverse types as the plagiorchid and rhodometopodous cercariae in a single genus controverts ideas of generic unity.

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TL;DR: On rencontre couramment dans les populations naturelles de Drosophila melanogaster un Rhabdovirus, appele σ, qui, bien qu’artificiellement inoculable, ne se transmet normalement que par les gametes.
Abstract: On rencontre couramment dans les populations naturelles de Drosophila melanogaster un Rhabdovirus, appele σ, qui, bien qu’artificiellement inoculable, ne se transmet normalement que par les gametes. Il existe deux categories de Drosophiles infectes, les non-stabilisees, chez lesquelles le virus n’est present que dans les tissus somatiques, et les stabilisees, chez lesquelles les cellules germinales egalement sont infectees. L’etat stabilise est transmis regulierement par heredite maternelle et peut prendre naissance a la faveur d’une infection tardive des cystes ovariens chez les femelles non stabilisees. Les modalites de la transmission hereditaire de σ sont telles qu’elles permettent au virus de se maintenir dans les populations en depit de l’action de la selection naturelle. Cette situation peut servir de modele pour certaines perspectives dans le domaine de la lutte biologique.

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TL;DR: In this paper, an enquete a ete menee dans six localites particulierement representatives du parasitisme de Rana temporaria L. dans l’Est des Pyrenees is presented.
Abstract: Une enquete a ete menee dans six localites particulierement representatives du parasitisme de Rana temporaria L. dans l’Est des Pyrenees. La confrontation des resultats obtenus en 1970 et en 1964-1966 (Combes) met en evidence une remarquable stabilite qualitative du parasitisme de Rana temporaria dans ces six stations.

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TL;DR: Les Crustaces Decapodes Brachyoures sont parasites par des Helminthes, notamment par des Nemertes and des larves de Cestodes as discussed by the authors.
Abstract: Les Crustaces Decapodes Brachyoures sont parasites par des Helminthes, notamment par des Nemertes et des larves de Cestodes.Les larves de Cestodes appartenant a trois ordres differents (Tetrarhyncha, Tetraphyllidea, et Diphyllidea ) ont pour hotes intermediaires des Decapodes. Sept especes de Brachyoures sont pour la premiere fois signalees comme hotes de ces formes larvaires.Le Nemerte Carcinonemertes carcinophila a ete recolte chez trois genres de Crabes ou il etait inconnu.

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TL;DR: In this article, the cycle evolutif du Trematode Microphallide microphallides pachygrapsi is decrit selon le schema : infestation naturelle du Mollusque -infestation experimentale du 2e hote intermediaire suivie de l'identification de la cercaire mure -reconnaissance de l’hote definitif naturel.
Abstract: Le cycle evolutif du Trematode Microphallide Microphallus pachygrapsi , Deblock et Prevot, 1969, est decrit selon le schema : infestation naturelle du Mollusque – infestation experimentale du 2e hote intermediaire suivie de l’identification de la cercaire mure –reconnaissance de l’hote definitif naturel. Le premier hote est un Mollusque Prosobranche Vermetide : Vermetus triqueter . Le second est un Crustace Brachyoure Pachygrapsus marmoratus . L’hote definitif, le goeland a pieds jaunes, Larus argentatus .



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TL;DR: Les auteurs ont recueilli et denombre les adultes de Trichinella spiralis dans les differentes portions de l'intestin chez des souris normales and traitees par des injections de cyclophosphamide ou d’ovalbumine.
Abstract: Les auteurs ont recueilli et denombre les adultes de Trichinella spiralis dans les differentes portions de l'intestin chez des souris normales et traitees par des injections de cyclophosphamide ou d’ovalbumine.Ils ont constate :1°que la survie des adultes est nettement prolongee chez les souris traitees ;2°que le rapport nombre de femelles/nombre de mâles, superieur a un au cours des deux ou trois premieres semaines de l’infestation, s’inverse ensuite, et cela dans tous les cas.Les vers mâles sont donc, ou moins antigeniques que les femelles, ou beaucoup plus resistants, contrairement aux notions classiques.


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TL;DR: Les auteurs rapportent les premiers resultats d’une etude portant sur 2995 Culicoides captures au Maroc signalent the presence of 14 especes nouvelles pour le Maroc.
Abstract: Les auteurs rapportent les premiers resultats d’une etude portant sur 2995 Culicoides captures au Maroc. Ils signalent la presence de 14 especes nouvelles pour le Maroc (C. catanei, C. fagineus, C. pulicaris, C. subfascipennis, Culicoides du groupe fascipennis, proche de pallidicornis. C. dhzafarovi, C. subravus, C. sejfadinei, C. stackelbergi, C. derisor, C. jumineri, C. similis, C. montanus et C. marcleti ) ce qui porte a 38 le nombre d’especes actuellement connues au Maroc.

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TL;DR: Albino rats, albino mice, guinea pigs, rabbits and hamsters were fed with eggs of Taenia taeniaeformis to study the development of Cysticercus fasciolaris under experimental conditions, finding that rats of four weeks age were found to be most susceptible to the infection.
Abstract: Albino rats, albino mice, guinea pigs, rabbits and hamsters were fed with eggs of Taenia taeniaeformis , to study the development of Cysticercus fasciolaris under experimental conditions. Very few cysts developed in aged albino rats while rats of four weeks age were found to be most susceptible to the infection. Adult mice could not be infected but those of four weeks age could harbour quite a good number of cysts. Both adults and young guinea pigs and rabbits could not be infected. Adult hamsters were found to be refractory to the infection.

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TL;DR: The development of tissue cultures of blood-sucking arthropods and their use for studies with microorganisms has progressed greatly during the last few years, mainly by basic improvement of cultivation techniques.
Abstract: The development of tissue cultures of blood-sucking arthropods and their use for studies with microorganisms has progressed greatly during the last few years. It has been achieved mainly by basic improvement of cultivation techniques. The establishment of many cell lines from mosquitoes aided virologists by providing a medium for studies of virus replication.Of the haematophagous arthropods, tissue cultures have been derived from ticks, lice, bugs, fleas, mosquitoes and flies.Ticks : Weyer, 1952, attempted to use organ cultures of Rhipicephalus ticks for the cultivation of rickettsiae without success. Rehacek, 1958, and Rehacek and Pesek, 1960, cultivated EEE virus on organ cultures of different tick species and accomplished the propagation of virus on connective tissue together with hypodermis. Hoffmann and Kohler, 1968, observed the viability of tick organ cultures in vitro for more than 2 months.Primary cultures derived from developing adults within engorged nymphs of different tick species were described by Rehacek, 1958, 1962 and Martin and Vidler, 1962. Later the uptake of amino acids and sugars by the cells in vitro was determined by Rehacek and Brzostowski, 1969 b ; Varma and Pudney, 1969 a . These cultures were used successfully for the propagation of various viruses transmitted in nature by ticks (Rehacek, 1965 b ; Yunker and Cory, 1967 ; Rehacek et al. , 1969). A laboratory strain of tick-borne encephalitis virus was found to multiply better in tick cells than in chick embryo cultures or intracerebrally injected mice. Viruses from natural sources grew equally well in all three media (Rehacek and Kozuch, 1964, 1969). Rickettsiae pathogenic for vertebrates were found to multiply in Hyalomma dromedarii cells in vitro (Rehacek and Brezina, 1964 ; Rehacek et al., 1968).Lice, bugs and fleas : Nauck and Weyer, 1941, used minced organs from lice, bugs and fleas for the cultivation of several rickettsiae. The only susceptible organ was found to be louse stomach which was maintained for 40 days. Growth of rickettsiae was demonstrated in these louse stomach organ cultures.Although the organ culture as well as primary cell cultures of Heteroptera were developed (Vago and Flandre, 1963 ; Varma and Pudney, 1967) they have not yet been used for virus and rickettsial studies.Flies : Primary cultures were established from Glossina palpalis by Trager, 1959. These cultures have been used for the propagation of Trypanosomes.Mosquitoes : Mosquito cultures have received primary attention in studies of arthropod cell cultures by most investigators in this research area.Organ cultures, primarily digestive organs, have been maintained in vitro for the cultivation of Plasmodia (Ball, 1947, 1948 ; Schneider, 1968) and fragments of other organs maintained for cultivation of certain arboviruses (Trager, 1938 ; Haines, 1958). The organs maintained in vitro remain viable as evidenced by contractibility. Ovary has been maintained for 80 days (Gubler, 1968).Primary cell cultures have been established from larvae (Peleg and Trager, 1963 ; Peleg, 1965 ; Johnson, 1969), pupae (Sweet and Dupree, 1968 ; Johnson, 1969), adult tissue (Gubler, 1968) and from embryonal tissues (Peleg, 1966 ; Singh and Bhat, 1969). Growth of cultures have been characterized by three types : the establishment of a cell sheet, large hollow spherical vesicles, and elongate hollow tubes (Bhat and Singh, 1969). The arboviruses, West-Nile, EEE, Semliki Forest (Peleg and Trager, 1963 ; Peleg, 1968), and Japanese Encephalitis viruses (Fujita et al., 1968) were grown in these cell cultures. The propagation of Japanese encephalitis virus was also described by immunofluorescence. Johnson, 1969, found the multiplication of VEE and EEE viruses in Maintland type cultures derived from minced germ-free larvae and pupae to be dependent on the temperature of incubation, shaking of cells during incubation, and on the virus concentration used. Two strains of VEE virus passed in larval tissue ten times (virulent strain) and five times (less virulent strain) caused no changes in virulence for mice or in plaque size in cell culture.The establishment of the first insect cell lines (Grace, 1962) from Antheraea butterflies and Aedes aegypti mosquitoes (1966) demonstrated the possibility of deriving cell lines from invertebrates and opened new areas of in vitro arthropod research. Further cell lines have been derived from embryonic mosquito tissue (Peleg, 1968) and from larval tissue (Singh, 1967 ; Varma and Pudney, 1969 b ), from pupae (Singh, 1967) from different species of Aedes mosquitoes.Wider use of Grace’s cell lines was limited by lack of availability of insect haemolymph. This was overcome by the adaptation of cells to media without haemolymph [Sweet and Dupree, 1968; Nagle, 1967 ; Suitor, 1968 (pers. com.)]. Suitor, et al. , 1966, succeeded in cloning spindle-shaped cells from Grace’s cell line.Stanley and Vaughn, 1967, found this cell line to be intolerant to Fungizone, a commercial preparation of the polyene amphotericin B.Grace’s cell line has been used extensively for the cultivation of certain arboviruses. Converse and Nagle, 1967, demonstrated the propagation of Yellow Fever virus and Rehacek, 1968 a , observed the multiplication of West Nile, Japanese Encephalitis, Murray Valley Encephalitis and Kunjin viruses. Rehacek, 1968 b , suc- ceeded in the establishment of a carrier State with Murray Valley Encephalitis and Japanese Encephalitis viruses. Filshie and Rehacek, 1968, described the morphology and replication of both viruses by means of electron microscopy. It was discovered that Grace’s cells were contaminated with an unknown latent insect virus which multiplied following the infection with Japanese Encephalitis virus Filshie et al. , 1967). Peleg, 1968 a, b , observed the multiplication of EEE, West-Nile and Semliki Forest disease viruses in the Aedes aegypti embryo cell line. The cell line from Aedes albopictus and Aedes aegypti derived by Singh, 1967 has been used by Singh and Paul, 1968, for the propagation of different arboviruses. These authors observed marked differences in propagation among viruses in both cell lines. Marked cytopathic effect demonstrated by cytolysis, formation of large syncytial masses and multinucleated giant cells has been described following infection with Japanese Encephalitis, West-Nile and Dengue viruses in Aedes albopictus cells only (Paul et al., 1969). This cell line also supported the propagation of Colorado Tick Fever virus (Yunker and Cory, 1969). Banerjee and Singh, 1968, succeeded in the establishment of a carrier state with Japanese Encephalitis, West-Nile and Chikungunya viruses with the same strain of cells.Practical application of arthropod tissue cultures for the propagation of viruses and rickettsiae from various aspects is discussed.

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TL;DR: Description de la larve de Leptoconops (L.) irritans , Noe, trouvee dans le sol entre 10 et 20 cm de profondeur d’isolement suivie.
Abstract: Description de la larve de Leptoconops (L.) irritans , Noe, trouvee dans le sol entre 10 et 20 cm de profondeur. Quelques indications sont donnees sur la technique d’isolement suivie.




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TL;DR: A new genus and species of an Acanthocephala of the family Quadrigyridae Van Cleave, 1920, collected from the intestine of a fresh water fish P. garua (= Clupisoma garua) at Patna appears to be low.
Abstract: The present paper gives an account of a new genus and species of an Acanthocephala of the family Quadrigyridae Van Cleave, 1920, collected from the intestine of a fresh water fish P. garua (= Clupisoma garua) at Patna. Only one of a large number of fishes examined harboured these worms. Their incidence, therefore, appears to be low. The number of specimens recovered from the host were two males and six females.