In recent years, the term empowerment has become part of everyday management language. It has also been associated with popular management movements of the times such as human resource management (HRM) and total quality management (TQM). Empowerment is regarded as providing a solution to the age‐old problem of Taylorised and bureaucratic workplaces where creativity is stifled and workers become alienated, showing discontent through individual or collective means. However, there are significant problems with much of the prescriptive literature on empowerment, in that there is little detailed discussion of the problems employers may experience implementing empowerment or the conditions which are necessary for such an approach to be successful. It is assumed employees will simply welcome the new way of working. Moreover, it is also assumed that empowerment is a universal solution appropriate to all organisations in all circumstances. Empowerment itself is not seen in a contingent way. Such literature has also been criticised as superficial and furthermore as trivialising the conflict that exists within organisations.

Empowerment: theory and practice

Building on existing empirical research on knowledge transfer, sharing and integration in inter-firm and intra-firm relations, it is argued that there is little evidence and theoretical reason for assigning exclusive properties to internal or external organization, as such, in a knowledge-governance respect. A more micro framework is then theoretically developed, in which a portfolio of knowledge-governance mechanisms is evaluated according to two criteria: the cognitive `possibility' to sustain certain types of knowledge interchanges; and the comparative cost of the mechanism where more than one is applicable.

Neither Hierarchy nor Identity: Knowledge-Governance Mechanisms and the Theory of the Firm

Resume Cet article propose d’introduire la dimension du pouvoir des clients dans l’analyse des relations de service. Les resultats des recherches empiriques menees a La Poste rendent compte de l’ambivalence du rapport au travail des guichetiers, entre « rendre service » et « etre au service de ». Les clients, places dans une position plus favorable du fait des transformations recentes des entreprises de service, tendent de plus en plus a prescrire et a sanctionner le travail des guichetiers, mobilisant les capitaux sociaux et culturels dont ils peuvent disposer. De leur cote, les guichetiers, malgre l’affaiblissement concomitant des collectifs, resistent a ces strategies d’asservissement par l’elaboration de regles et de savoir-faire subtils.

« À votre service ! » La relation de service comme rapport social

Les politiques de la nature reposent sur la mobilisation massive de scientifiques au sein d’instances multiples et variees, œuvrant a toutes les echelles. Dans les soupentes de l’action publique, des acteur·rices confrontent leurs savoirs, leurs traditions disciplinaires, leurs pratiques professionnelles et leurs representations pour negocier des facons de « gerer la nature ».En France, les conseils scientifiques des espaces naturels proteges sont des lieux privilegies pour etudier l’evolution des rapports entre natures, sciences et societes. Ils etaient pourtant jusqu’a present meconnus. Articulant sociologie des sciences et sociologie des groupes professionnels, cette these analyse les effets des relations interprofessionnelles qui se tissent au gre des rencontres dans ces instances et a la conjonction de differents regimes de sciences en societe. La methode mobilisee combine ethnographie dans des espaces proteges alpins, enquetes quantitatives et travail avec les images.La these decrit le fonctionnement, l’organisation et les missions des conseils scientifiques de l’action publique environnementale afin de les situer dans le domaine de l’expertise et de mieux apprehender leur role effectif, entre scenes et coulisses, dans la gouvernance de la nature. Elle s’interesse plus particulierement a la construction de collectifs interprofessionnels a l’interface entre savoirs et actions, dans des situations aux frontieres mouvantes. En creux de ces instances se developpe un milieu relationnel actif qui forme des modes interactionnels complexes oscillant entre expertise et collaboration, entre proximite et prise de distance. Ces relations provoquent des ajustements pour preserver la distance entre « science et action » et l’impermeabilite affichee de leur frontiere. La these invite, en definitive, a reflechir a la conjonction possible de differents regimes de sciences en societe et a ses effets notamment sur les processus d’expertise et leur degre d’ouverture

Composer des relations entre "science" et "gestion de la nature" : ethnographie des frontières, casquettes et controverses dans les conseils scientifiques

Cros Francoise. L'innovation en education et en formation. In: Revue francaise de pedagogie, volume 118, 1997. L'ecole elementaire. pp. 127-156.

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Claude Durand

Papers

Le desir de metier. Engagement, identite et reconnaissance au travail

Sociologie de l'entreprise et de l'innovation

Le monde du travail

Zarifian Philippe, Le modèle de la compétence. Trajectoire historique, enjeux actuels et propositions.

Le syndicalisme au futur