https://clin.au.dk/fileadmin/www.ki.au.dk/forskning/forskningsenheder/gyn__kologisk-obstetrisk_afd__y/logistics/sandbjerg_m__der/sandbjerg_2007/maternalogmaternellekomplikationer.pdf

Postpartum maternal mortality and cesarean delivery.

Objective: To evaluate the outcome for all infants born before 33 weeks gestation until discharge from hospital. Design: A prospective observational population based study. Setting: Nine regions of France in 1997. Patients: All births or late terminations of pregnancy for fetal or maternal reasons between 22 and 32 weeks gestation. Main outcome measure: Life status: stillbirth, live birth, death in delivery room, death in intensive care, decision to limit intensive care, survival to discharge. Results: A total of 722 late terminations, 772 stillbirths, and 2901 live births were recorded. The incidence of very preterm births was 1.3 per 100 live births and stillbirths. The survival rate for births between 22 and 32 weeks was 67% of all births (including stillbirths), 85% of live births, and 89% of infants admitted to neonatal intensive care units. Survival increased with gestational age: 31% of all infants born alive at 24 weeks survived to discharge, 78% at 28 weeks, and 97% at 32 weeks. Survival among live births was lower for small for gestational age infants, multiple births, and boys. Overall, 50% of deaths after birth followed decisions to withhold or withdraw intensive care: 66% of deaths in the delivery room, decreasing with increasing gestational age; 44% of deaths in the neonatal intensive care unit, with little variation with gestational age. Conclusion: Among very preterm babies, chances of survival varies greatly according to the length of gestation. At all gestational ages, a large proportion of deaths are associated with a decision to limit intensive care.

https://fn.bmj.com/content/fetalneonatal/89/2/F139.full.pdf

Survival of very preterm infants: Epipage, a population based cohort study

https://www.thelancet.com/pdfs/journals/lancet/PIIS0140-6736(01)05482-4.pdf

Pregnancy outcomes after peripheral blood or bone marrow transplantation: a retrospective survey

Why are babies getting bigger? Temporal trends in fetal growth and its determinants.

Background: Progress in perinatal medicine has made it possible to increase the survival of very or extremely low birthweight infants. Developmental outcomes of surviving preterm infants have been analysed at the paediatric, neurological, cognitive, and behavioural levels, and a series of perinatal and environmental risk factors have been identified. The threat to the child’s survival and invasive medical procedures can be very traumatic for the parents. Few empirical reports have considered post-traumatic stress reactions of the parents as a possible variable affecting a child’s outcome. Some studies have described sleeping and eating problems as related to prematurity; these problems are especially critical for the parents. Objective: To examine the effects of post-traumatic reactions of the parents on sleeping and eating problems of the children. Design: Fifty families with a premature infant (25–33 gestation weeks) and a control group of 25 families with a full term infant participated in the study. Perinatal risks were evaluated during the hospital stay. Mothers and fathers were interviewed when their children were 18 months old about the child’s problems and filled in a perinatal post-traumatic stress disorder questionnaire (PPQ). Results: The severity of the perinatal risks only partly predicts a child’s problems. Independently of the perinatal risks, the intensity of the post-traumatic reactions of the parents is an important predictor of these problems. Conclusions: These findings suggest that the parental response to premature birth mediates the risks of later adverse outcomes. Preventive intervention should be promoted.

https://fn.bmj.com/content/fetalneonatal/88/5/F400.full.pdf

Parental post-traumatic reactions after premature birth: implications for sleeping and eating problems in the infant.

Journal de Gynecologie Obstetrique et Biologie de la Reproduction - Vol. 35 - N° 4 - p. 373-387

https://www.hal.inserm.fr/inserm-00462939/document

La santé périnatale en France métropolitaine de 1995 à 2003

Objectifs : Montrer l'evolution des principaux indicateurs de l'etat de sante et des pratiques medicales au moment d'une naissance et evaluer la faisabilite d'une enquete nationale realisable en routine. Population et methode: Une enquete a ete effectuee en 1995 sur la totalite des naissances vivantes et des mort-nes pendant une semaine. L'echantillon comprend 13147 femmes en metropole. Les resultats ont ete compares a ceux des enquetes nationales perinatales anterieures. Resultats : L'evolution depuis 1981 est marquee par une augmentation importante de l'âge des meres, le developpement de la surveillance prenatale, en particulier le nombre de visites, et une augmentation des interventions au moment de l'accouchement, en particulier les declenchements. Le taux de prematurite calcule sur l'ensemble des naissances est stable: 5,6 % en 1981 et 5,9 % en 1995, mais la proportion d'enfants de moins de 2 500 g a augmente de 5,2 % a 6,2 %. Conclusion : L'enquete nationale perinatale de 1995, fondee sur la totalite des naissances pendant une semaine et comprenant un recueil minimal de donnees, permet d'avoir un echantillon representatif des naissances, et des informations bien adaptees pour suivre les principaux indicateurs de sante et de pratique medicale. Ce type d'enquete devrait etre realise en routine et constituer un element de base essentiel pour la surveillance epidemiologique.

La situation périnatale en France : Evolution entre 1981 et 1995

Objectif. Etudier la mortalite perinatale et neonatale des enfants grands prematures en fonction de l'âge gestationnel, du lieu de prise en charge et du type de naissances. Materiel et methodes. Cette etude porte sur les enfants de l'etude EPIPAGE, nes entre 22 et 32 semaines, a Paris et dans la Petite Couronne, entre le 1 er fevrier et le 31 juillet 1997. Deux indicateurs de mortalite ont ete retenus : la mortinatalite et la mortalite hospitaliere (deces en salle de naissance ou au cours de l'hospitalisation en reanimation neonatale). Les lieux de naissances ont ete repartis en deux groupes : les maternites de niveau III, disposant d'un service de reanimation neonatale, et les autres maternites. Resultats. Sur les 772 enfants, 58 % sont nes dans une maternite de niveau III; ce pourcentage s'eleve a 71 % pour les naissances multiples. La mortalite (mortinatalite + mortalite hospitaliere) est plus faible dans les maternites de niveau III (22,9 %) que dans les autres (45,8 %). Cette difference porte principalement sur la mortinatalite et les deces en salle de naissance. Conclusion. D'importantes differences de mortalite apparaissent en fonction du lieu de naissance des enfants. Ceci pourrait traduire des differences d'attitudes dont la justification ne pourra apparaitre qu'avec le suivi a long terme.

Grossesses multiples, lieu de naissance et mortalité des grands prématurés : premiers résultats d'EPIPAGE Île-de-france

Resume Objectifs Decrire les caracteristiques des « mauvais repondants » et de leurs enfants dans la cohorte des grands prematures de l'etude EPIPAGE et tenter de comprendre les raisons de non-retour des questionnaires. Methode Les « mauvais repondants » ( n  = 176) sont les parents qui n'ont pas renvoye les questionnaires prevus a 1 et a 2 ans. Des appels telephoniques et visites a domicile ont ete effectues pour tenter de les retrouver. Resultats Les familles des enfants des « mauvais repondants » etaient dans une situation sociale plus defavorisee et avaient un enfant ne plus prematurement que les familles des « bons repondants ». Les recherches pour retrouver les « mauvais repondants » ont montre que les familles etaient souvent dans des situations de grande precarite sociale, avaient des maladies graves et des difficultes psychologiques. La moitie des enfants des « mauvais repondants » ont pu etre examines dans le cadre du bilan a 5 ans. Ils avaient tendance a avoir de moins bons resultats au test de developpement psychologique et a etre en moins bonne sante que les enfants des « bons repondants ». Conclusion En ne suivant pas la totalite de la population initiale, on sous-estime les difficultes sociales des familles et probablement les taux de sequelles liees a la grande prematurite.

C. Du Mazaubrun

Papers

La santé périnatale en France métropolitaine de 1995 à 2003

La situation périnatale en France : Evolution entre 1981 et 1995

Grossesses multiples, lieu de naissance et mortalité des grands prématurés : premiers résultats d'EPIPAGE Île-de-france

Difficultés de suivi d'une cohorte d'enfants nés grands prématurés : EPIPAGE Paris–Petite-Couronne