This 1966 paperback edition of a publication which first appeared in 1963 has by now been widely reviewed as a worthy contribution to the sociological study of deviant behavior. Its current appearance as a paperback is a testimonial both to the quality of the work and to the prominence of deviant behavior in this generation. In general the author places deviance in perspective, identifies types of deviant behavior, considers the role of rule makers and enforcers, and some of the problems in studying deviance. In addition, he develops a sequential model of deviance relying on the concept of career, a concept originally developed in studies of occupations. In his study of a particular kind of deviance, the use of marihuana, the author posits and tests systematically an hypothesis about the genesis of marihuana use for pleasure. The hypothesis traces the sequence of changes in individual attitude

Outsiders Studies in the Sociology of Deviance.

Focusing on labour relations and unions, this title is part of a series that considers the theoretical, methodological and research issues relevant to organizational sociology. It emphasizes on both micro and macro sociological approaches.

Research in the Sociology of Organizations

The first part of this paper proposes a continuum of ideological premises that seeks to account for the broad range of immigrant integration policies adopted by Western democratic states. In the second part, a review of Social Psychological models of immigrant acculturation strategies demonstrates the need to explain more clearly the interactive nature of immigrant and host community relations. The Interactive Acculturation Model (IAM) presented next proposes that relational outcomes are the product of the acculturation orientations of both the host majority and immigrant groups as influenced by state integration policies. The model makes predictions regarding the acculturation combinations most likely to produce consensual, problematic, and conflictual relational outcomes between immigrants and members of the host community. Social psychological research is needed to test the validity of the IAM model empirically. La premiere partie de cet article propose un continuum des premisses ideologiques qui anime...

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Towards an Interactive Acculturation Model: A Social Psychological Approach

Social networking sites such as Facebook and MySpace have been subject to much recent debate within the educational community. Whilst growing numbers of educators celebrate the potential of social networking to (re)engage learners with their studies, others fear that such applications compromise and disrupt young people's engagement with ‘traditional’ education provision. With these ongoing debates in mind, the current paper presents an in‐depth qualitative analysis of the Facebook ‘wall’ activity of 909 undergraduate students in a UK university. Analysis of these data shows how much of students' education‐related use of this social networking application was based around either the post‐hoc critiquing of learning experiences and events, the exchange of logistical or factual information about teaching and assessment requirements, instances of supplication and moral support with regards to assessment or learning, or the promotion of oneself as academically incompetent and/or disengaged. With these themes i...

/pdf/faceworking-exploring-students-education-related-use-of-2x6bdz7f3t.pdf

Faceworking: Exploring Students' Education-Related Use of "Facebook".

This article offers an overview and assessment of the utility of new social movement theories for analyzing contemporary forms of collective action. The article beings with a brief overview of the ...

https://www.jstor.org/stable/pdfplus/4120774.pdf

New social movement theories

Qu'il s'agisse d'inegalites de traitement en fonction du sexe, de la race, de la sexualite, de la religion, de l'origine, des handicaps, de la sante, les discriminations sont aujourd'hui percues et combattues comme la figure centrale des injustices. S'il est indispensable de les decrire et de les mesurer, il faut aussi que l'on sache mieux comment elles sont vecues par celles et ceux qui les subissent. L'ecart est grand, en effet, entre les inegalites objectives et la maniere dont les personnes les ressentent et, surtout, dont elles les tiennent pour justes ou injustes. Pourquoi moi ? s'efforce de rendre compte de ce vecu plus divers qu'il n'y parait. De l'"experience totale" qui fait de la discrimination le coeur de l'identite et du rapport au monde des individus a la distanciation que d'autres parviennent a installer grâce a un ensemble de strategies et de tactiques, se deploie un espace de discriminations ressenties de facon plus ou moins intense. Ces experiences sont determinees par le jeu complexe des conditions sociales. Ainsi les plus discrimines ne sont pas necessairement ceux qui eprouvent les sentiments d'inegalite les plus aigus. La comparaison entre l'ecole et l'hopital montre que les discriminations sont percues de facon tres differente dans ces institutions pour lesquelles la diversite des cultures et des personnes ne constitue pas le meme enjeu. Les discriminations et les luttes qu'elles entrainent revelent de profondes transformations de notre vie sociale et de nos subjectivites ; non seulement elles devoilent des injustices intolerables, mais elles montrent comment les individus essaient de se construire comme les sujets de leur liberte et de leur identite quand l'ordre social perd de son unite et de son ancienne legitimite.

Pourquoi moi ? : L'expérience des discriminations

L'article rend compte des principales conclusions d'une recherche visant a analyser l'evolution de l'experience des eleves de la classe de C.M.1 jusqu'en terminale. L'article relie les changements survenus dans la socialisation avec les importantes transformations qu'a connues le systeme educatif au cours des dernieres decennies. Pour etudier le processus a l'œuvre, nous nous sommes axes sur la notion d'experience et les trois exigences auxquelles sont tenues les eleves la formation d'un projet en termes d'utilite, une exigence d'integration sociale, la formation d'une subjectivite accroissant la capacite de maitriser les situations. Au vue de la socialisation, l'ecole n'est pas seulement « inegalitaire »: elle produit surtout des itineraires differents et des individus differents. Elle n'est plus une institution mais un espace ou naissent, et echouent, des projets multiples.

1. Sociologie de l’expérience scolaire

On peut distinguer trois grands types de raison et de motifs expliquant que les enseignants, pourtant tres informes, ne croient pas veritablement aux conclusions de la recherche en sociologie de l’education. Il existe d’abord des explications tenant a la position des individus dans le systeme, position qui conduit a dementir des conclusions etablies sur de grands ensembles. Ensuite, les acteurs ont du mal a admettre les resultats de recherches qui contredisent directement les croyances necessaires a l’accomplissement meme de leur travail. Ce n’est enfin qu’a la marge que l’on trouvera de veritables interets a l’origine du refus des resultats de la recherche.

https://lewebpedagogique.com/pedaspoil/files/2011/12/ES_009_0013.pdf

Pourquoi ne croit-on pas les sociologues ?

L'ecole democratique de masse est dominee par deux principes de justice : l'egalite et le merite. Plus l'ecole se democratise en engageant les eleves dans une competition commune et plus elle s'efforce de realiser les conditions de l'egalite des chances, plus l'egalite et le merite deviennent contradictoires. Des que l'intensite du travail scolaire cesse de garantir les performances des eleves, ceux-ci sont conduits a perdre leur estime d'eux-memes. Ils peuvent alors choisir entre le ritualisme, la violence et le retrait du jeu scolaire. Confrontes a des situations et a des sentiments d'injustice, les eleves en appellent au respect comme une prise en compte de la subjectivite et de l'identite de chacun face aux contradictions du merite et de l'egalite

9. L’égalité et le mérite dans l’école démocratique de masse

Hablar de la experiencia sociologica, no de meros experimentos, solo se puede entender reconociendole al sujeto la singularidad de su perspectiva. Para Francois Dubet, profesor de sociologia en la Universidad Bordeaux-II y director de estudios en la Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, se trata de considerar los ultimos cuarenta anos de una disciplina cuyos limites conoce, y establecer "sintesis provisionales", conforme el revisa la bibliografia o sus experiencias de trabajo. Si es cierto que la sociologia no puede obviar su vocacion intelectual y cientifica, tampoco puede obliterar la subjetividad de quienes contestan a ese llamado. Eso mismo pretende reivindicar el autor que no ofrece un sistema acabado, pero si una serie de instantaneas marcadas por un entorno historico y por su biografia profesional. Es precisamente cuando el rigor metodologico nos ensena a mirar hacia los fenomenos sociales - ya sean el movimiento estudiantil y obrero de mayo del 68, la exclusion social y los motines, tensiones en la escuela o injusticias en el trabajo -, que la sociologia ya no puede ignorar la subjetividad de la mirada. Pensador critico de la justicia social, Dubet nos ofrece ahora la suya, modesta y experimentada: "si hay algo duro en este oficio, eso es la libertad misma de la que goza y que le obliga a sacar de si mismo el deseo de trabajar a cambio de un reconocimiento bastante aleatorio".

/pdf/la-experiencia-sociologica-36th5dnvfk.pdf

François Dubet

Papers

Pourquoi moi ? : L'expérience des discriminations

1. Sociologie de l’expérience scolaire

Pourquoi ne croit-on pas les sociologues ?

9. L’égalité et le mérite dans l’école démocratique de masse

La experiencia sociológica